A peine parti, déjà menacé. Lancé mercredi 8 mai à Marseille, le relais de la flamme olympique en France n’échappe pas aux menaces. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé dimanche 12 mai sur son compte X que les services de sécurité mobilisés sur le parcours avaient permis de déjouer « 23 actions visant à perturber le bon déroulement des festivités olympiques en lien avec le relais de la flamme » depuis le début de la semaine. La flamme est protégée de très près par un dispositif composé de 200 membres des forces de l’ordre. En amont de son parcours, des CRS ou des gendarmes mobiles sont chargés d’ouvrir les routes. Les autorités craignent principalement que des activistes tentent de profiter de l’écho médiatique mondial d’une flamme éteinte, dérobée, chahutée ou juste arrêtée.
— Publié le 13 mai 2024