Mauvaise nouvelle: la crise économique au Brésil touche désormais les dépenses de sécurité. Le chef du département de la sûreté publique, Jose Mariano Beltrame, l’a avoué aux autorités de l’état de Rio de Janeiro: son budget a été réduit d’un tiers pour l’année 2016. Une coupe budgétaire qui a contraint ses services à reporter un programme de « pacification » d’une zone à risque de la ville olympique, une ensemble d’une quinzaine de bidonvilles situés près de l’aéroport international. Le programme devait être finalisé avant les Jeux de Rio.
— Publié le 23 mars 2016