Pas simple, le contrôle antidopage en Russie. Plusieurs officiels de l’agence britannique antidopage (UKADA) ont avoué à la chaîne Sky News qu’ils éprouvaient les plus grandes difficultés à mener à bien la mission de réaliser les tests en Russie, confiée en début d’année par l’AMA. Selon eux, les dirigeants russes exigent d’être prévenus au moins 30 jours avant un contrôle. En prime, les douanes du pays ralentissent régulièrement la procédure de sortie du territoire des échantillons sanguins, une procédure qui impose un délai maximum de 48 heures.
— Publié le 12 mai 2016