Istanbul 2020 s’engage sur sa capacité à livrer les Jeux et à assurer un héritage majeur, lors de la séance d’information des villes candidates 2020 aux membres du CIO
Lausanne, Suisse, le 3 juillet 2013 : Istanbul 2020 a détaillé aujourd’hui les caractéristiques uniques de sa candidature devant près de 100 membres du CIO, lors de la séance d’information pour les membres du CIO sur les villes candidates 2020 à Lausanne. Istanbul 2020 a souligné la capacité de livraison de la Turquie et mis en évidence l’héritage profond qu’engendreraient, auprès de la jeunesse turque, les premiers Jeux de l’histoire du pays.
La délégation d’Istanbul 2020 à la séance d’information pour les membres du CIO sur les villes candidates 2020 a réuni : Ali Babacan, vice Premier Ministre en charge de l’Economie et des Finances, Suat Kılıç, Ministre de la Jeunesse et des Sports, Hasan Arat, Président d’Istanbul 2020, le Professeur Uǧur Erdener, membre du CIO et Président du Comité National Olympique turc, Ahmet Haluk Karabel, Président de TOKI, l’agence en charge de la livraison des infrastructures d’Istanbul 2020, Ali Kiremitcioglu, Directeur Général d’Istanbul 2020, Alp Berker, Directeur des Sports d’Istanbul 2020, Gizem Girişmen, archère Paralympique et Ambassadrice d’Istanbul 2020, Neslihan Darnel, Olympienne, joueuse de volleyball et Ambassadrice d’Istanbul 2020, et Çağla Büyükakçay, la numéro 1 du tennis turc.
Le vice Premier Ministre Ali Babacan a souligné qu’après une décennie de transformation politique, sociale et économique, la Turquie avait « la meilleure capacité à organiser les Jeux Olympiques » de son histoire. « Depuis 2002, notre PIB par habitant a triplé. Au cours des quatre dernières années, nous avons créé 4,8 millions de nouveaux emplois pour notre peuple. Nous avons le plus faible taux de chômage des jeunes de toute l’Europe. Nos finances nationales sont totalement aptes à absorber le poids des Jeux et à offrir toutes les garanties. Le budget non-COJO d’Istanbul 2020, de 19,4 milliards de dollars, peut sembler élevé, mais mon gouvernement a d’ores et déjà engagé la plus grande partie de cette somme. 16,5 milliards de dollars d’investissements sont en cours de réalisation, limitant le coût des Jeux à 2,9 milliards de dollars, soit moins de 1 % de notre budget d’investissement total pour les sept prochaines années. »
M. Babacan a ensuite mis en évidence la solidité de la gouvernance et des stratégies financières mises en œuvre par Istanbul 2020 pour éliminer tout risque du concept pour les Jeux : « pour la toute première fois, une ville candidate possède, avant même son élection, les structures nécessaires pour la gouvernance et le financement. Notre Loi Olympique est entrée en vigueur il y a plus de 20 ans, et elle prescrit au gouvernement un soutien total. Nous n’aurons pas besoin d’une nouvelle législation, de garanties supplémentaires ou de démarches bureaucratiques pour faire avancer les Jeux. TOKI, notre agence de construction pour les Jeux, […] a construit 600.000 nouvelles maisons ces dix dernières années, l’équivalent de cinq villages Olympiques par an. Aujourd’hui, TOKI possède à la fois les fonds et le foncier nécessaires à la construction de toutes les infrastructures des Jeux ».
Le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Suat Kılıç, a détaillé les récentes contributions pour le sport en Turquie :
« A Mersin, nous avons réussi un défi difficile. Nous avons construit 12 nouvelles infrastructures de dimension Olympique, 18 mois seulement après avoir été désignés hôtes des Jeux Méditerranéens, grâce à l’aide de nos collègues de TOKI. Tous les services, dont le transport, la sécurité, l’hébergement, les services médicaux et la billetterie ont été livrés selon le programme. Cet événement s’est avéré être un test très important de notre capacité de livraison ».
Le Président d’Istanbul 2020, Hasan Arat, a présenté les synergies fortes entre les objectifs d’Istanbul pour les Jeux Olympiques et ceux de la ville pour son développement à long terme :
« La vision d’Istanbul 2020 pour les Jeux est parfaitement alignée avec celle du Plan Directeur de la Turquie pour 2023. Celui-ci est d’ores et déjà mis en œuvre. C’est un gage d’assurance, à la fois pour les Jeux de 2020 et pour la ville d’Istanbul. Notre ville a besoin d’infrastructures de transport, nous les construisons. Notre population urbaine a besoin d’équipements sportifs, nous les développons. Notre jeunesse a besoin d’hommes et de femmes modèles auxquels s’identifier, les Jeux les révéleront ».
« Nous savons que nous saurons délivrer, parce qu’aujourd’hui Istanbul combine deux décennies de désir des Jeux avec l’engagement et la capacité nécessaires pour les organiser. Notre ville est en capacité d’offrir des Jeux extraordinaires. Par le passé, le Mouvement Olympique est parfois allé au-delà du sport pour écrire l’histoire. C’est ce qui est possible de faire à Istanbul en 2020. Aujourd’hui, le moment est le bon pour avancer ensemble. »
Le Professeur Uǧur Erdener, membre du CIO et Président du Comité National Olympique turc, a révélé la conviction du Comité de candidature : « pour les Jeux, un concept compact n’est pas suffisant – les Jeux doivent réellement être une expérience unique dans la vie ».
« Nous voulons que les Jeux d’Istanbul subliment le sport, en le mettant en scène dans les plus beaux décors possibles. Des Jeux sur deux continents, illustrant notre diversité, et un concept équilibré entre compacité et efficacité opérationnelle. Un concept qui, en réalité, est très proche de ceux des éditions précédentes des Jeux. Les Jeux à Istanbul seront caractérisés par une scénographie unique, qui retiendra l’attention du monde entier. Nous travaillerons avec vous pour renforcer les Jeux comme l’événement international le plus important ».
La jeune espoir Olympique, Çağla Büyükakçay, a enfin témoigné de l’importance d’accueillir les Jeux aux yeux des jeunes de Turquie :
« Mon rêve est de devenir une Olympienne, mais aujourd’hui je représente les rêves de toute la jeunesse turque. 50 % de notre population est comme moi. Nous sommes les jeunes, nous sommes l’avenir, et nous sommes plus de 30 millions. Nous sommes ambitieux et pleins d’optimisme. Le rêve Olympique est quelque chose qui nous rassemble. Pourquoi souhaitons-nous accueillir les Jeux à Istanbul en 2020 ? Nous croyons au pouvoir du sport, ce pouvoir qui peut exprimer notre potentiel et engendrer un changement durable et positif. Je le sais, parce que c’est arrivé pour moi ».
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