Il devait s’y attendre. Thomas Bach, le président du CIO, a été interrogé dès son arrivée à Lima, jeudi 7 septembre, par les médias présents au Pérou sur les soupçons de corruption qui pèsent sur Carlos Nuzman, l’ancien président des Jeux de Rio 2016. Le dirigeant allemand n’a pas éludé la question, mais il s’est contenté d’une réponse très neutre: « Pour le moment, il n’y a pas de charges retenues. Il est trop tôt. Nous suivrons l’affaire de près. »
— Publié le 8 septembre 2017