Fausse bonne idée? Sans doute. Mike Miller, le directeur général de l’Association mondiale des olympiens (WOA), a suggéré, mercredi 11 octobre à Londres, d’implanter des puces sous la peau des athlètes de haut niveau afin de mieux les suivre dans le cadre de la lutte antidopage. « Nous mettons des puces à nos chiens, cela ne semble pas leur nuire, a-t-il argumenté. Alors, pourquoi ne pas mettre des puces sur nous-mêmes? Nous devons faire face aux tricheurs. Je pense que, dans cette quête d’éradication du dopage, nous devons mettre des puces, munies des dernières avancées technologiques, sur nos athlètes. » A la question du respect de la vie privée, le Britannique répond: « Certains estiment que cela représente une violation de la vie privée. C’est un club, et ceux qui ne veulent pas se soumettre aux règles du club, n’ont qu’à ne pas s’y joindre. »
— Publié le 12 octobre 2017