Pessimiste, l'agence britannique antidopage (UKAD). Dans son rapport annuel, son président David Kenworthy suggère que "si les budgets continuent à baisser, il sera difficile de fournir un service complet. " Un signal d'alarme actionné peu de temps après celui de l'Agence Mondiale Antidopage (AMA), elle aussi inquiète de voir la criser rogner sur ses ressources, donc sur ses moyens de lutter contre les tricheurs."
— Publié le 11 juillet 2013