Lamine Diack, le président de l’IAAF, met Istanbul 2020 en garde : un grand « ménage » doit être très vite imposé dans le sport turc pour le nettoyer des nombreux tricheurs. Le dirigeant africain, par ailleurs membre du CIO, pointe du doigt la trentaine d’athlètes turcs accusés de dopage pour la seule année 2012. Pour Lamine Diack, une politique antidopage plus radicale renforcerait les chances d’Istanbul dans la course aux Jeux de 2020.
— Publié le 30 juillet 2013