A seulement quelques semaines, voire quelques jours, de la décision du COJO Paris 2024, les candidatures à l’accueil du surf lancent le sprint final de la campagne. Parmi elles, Lacanau et Bordeaux, associées dans un projet commun. Les deux villes de la Gironde ont choisi, sans surprise, d’insister dans leur communication sur la notion d’héritage que les épreuves olympiques de surf pourraient laisser dans la région, notamment pour la pratique de la discipline. Selon un communiqué de Lacanau et Bordeaux Métropole, le concept proposé au COJO Paris 2024 s’appuie sur un fort héritage, tant en matière de développement durable avec une politique volontariste zéro plastique, que pour le surf au niveau national et international. « Lacanau entend structurer un centre européen de développement du surf avec une dimension formation, recherche technologique et entraînement, explique l’équipe de candidature dans un communiqué. La ville compte pour cela s’appuyer sur le réseau mondial des Villes de surf dont elle est membre, l’expérience du Lacanau Surf Club, l’Université de Bordeaux et des surfeurs de renom. » Lacanau et Bordeaux sont en concurrence avec La Torche dans le Finistère, Biarritz au Pays Basque, le trio landais formé de Capbreton, Hossegor et Seignosse, et Tahiti en Polynésie française.
— Publié le 3 décembre 2019