Trop beau pour être vrai. La FIFA a publié son rapport antidopage pour 2023, une année marquée notamment par la Coupe du Monde féminine en Australie et Nouvelle-Zélande. A peine croyable : il affiche un seul cas positif, sur le total pourtant respectable de 1.592 tests. Et encore, l’unique entorse aux règlements était couverte par une autorisation d’usage thérapeutique. A seule, la Coupe du Monde féminine a été l’objet de 860 contrôles. Tous négatifs. A en croire le document, la FIFA concentre ses efforts sur les tests en compétition (61 %). Les trois pays les plus testés, toutes compétitions confondues, ont été le Brésil (67), l’Espagne (60), et la France (53). Au Mondial féminin, toutes les joueuses ont été testées au moins une fois, et trois fois minimum si elles portaient les couleurs de l’une des quatre équipes demi-finalistes. Très fort.
— Publié le 12 mars 2024