Enfin une bonne nouvelle pour la Fédération française de tennis (FFT). Le Conseil d’État a annoncé dans un communiqué, lundi 3 octobre, avoir cassé la décision du tribunal administratif de suspendre le permis de construire accordé à la FFT pour la restructuration du stade Roland-Garros. Une décision en cassation qui doit permettre aux travaux de reprendre, au moins jusqu’à la fin d’année. « La FFT voit ses arguments confortés par la plus haute juridiction administrative française et obtient une nouvelle fois confirmation de la solidité juridique de son projet », a réagi la Fédération dans un communiqué. La décision du Conseil d’Etat ne met pas encore un terme à l’interminable feuilleton de l’extension de Roland-Garros, mais elle fait au moins provisoirement les affaires de la candidature de Paris aux Jeux de 2024. Anne Hidalgo, la maire de la capitale, ne s’y est pas trompée. « Ce nouveau Roland Garros va permettre de renforcer encore davantage le rayonnement du tennis français à travers le monde. Il sera aussi un atout majeur dans la candidature de Paris et de la Seine-Saint-Denis aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 », a commenté Anne Hidalgo.