Canadiens, Italiens et Japonais peuvent se frotter les mains. Selon Christophe Dubi, le directeur des Jeux olympiques au CIO, les villes ayant déjà organisé les Jeux d’hiver ont un avantage dans la course aux JO en 2026. Il l’a expliqué mardi 3 avril, depuis Lausanne, à l’occasion d’une conférence de presse téléphonique consécutive à la publication par le CIO des villes intéressées par l’événement en 2026. Pour Christophe Dubi, pouvoir utiliser des sites déjà existants, ayant servi par le passé aux Jeux d’hiver, voire à des Mondiaux ou une Coupe du Monde, constitue un avantage certain, dans la ligne de la « Nouvelle norme » présentée par l’organisation olympique lors de la session de PyeongChang. Parmi les 7 dossiers en course, seulement trois concernent des récidivistes: Sapporo (1972), Calgary (1988), et Turin (2006).
— Publié le 4 avril 2018