Et de deux. Après Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, la co-présidente de la Fédération Sportive et Gymnique du Travail (FSGT), un deuxième candidat est officiellement entré dans la course à la présidence du Comité olympique français (CNOSF). Il était annoncé et fait figure de favori. David Lappartient, le président de l’Union cycliste internationale (UCI), a informé les présidents de fédérations et les membres du conseil d’administration de l’instance de sa décision de postuler à la succession de Brigitte Henriques. Le Breton, par ailleurs président du Conseil départemental du Morbihan, l’a fait sur un courrier à en-tête du CIO, où il explique qu’il est aujourd’hui « nécessaire de pacifier les relations et de favoriser le rassemblement de tous les acteurs du sport français. » David Lappartient insiste également sur sa « capacité à garantir ce rassemblement. » L’élection à la présidence du CNOSF aura lieu le 29 juin, date de la démission effective de Brigitte Henriques. Les postulants ont jusqu’au 26 juin pour déposer leur candidature. Le nouvel élu devra ensuite être confirmé par un vote de l’assemblée générale, prévu le 13 septembre. Son mandat prendra fin en 2025.
