World Boxing a fait ses comptes. A moins d’un mois des premières élections, prévues lors du congrès inaugural de Francfort (Allemagne) les 24 et 25 novembre, la liste des candidats pour les différents poste de gouvernance est désormais arrêtée. Elle compte 27 noms, issus de 14 pays. Parmi eux, sept femmes. Et dans ce lot, une postulante à la fonction suprême de présidente. L’Américaine Elise Seignolle (photo ci-dessus, au centre), une dirigeante historique de la Fédération américaine de boxe (USA Boxing), ex membre du comité directeur de l’IBA, a décidé de tenter sa chance. Elle sera opposée à Boris van der Vorst, l’ancien président de la Fédération néerlandaise de boxe (2014-2023), candidat malheureux à la présidence de l’IBA. En jeu, la présidence de World Boxing pour une période de quatre ans. Neuf candidats (trois femmes et six hommes) se présentent pour les trois postes de vice-président. Enfin, les quatre autres places disponibles au bureau exécutif de l’instance seront convoitées par quinze personnes (10 hommes et cinq femmes). A ce jour, World Boxing recense 27 fédérations nationales membres sur les cinq continents. Créée en avril dernier, la nouvelle instance de la boxe olympique espère obtenir la reconnaissance du CIO, retirée à l’IBA au mois de juin dernier.
