Et de trois. Après Lacanau en Gironde, et La Torche dans le Finistère, une troisième ville s’est officiellement manifestée pour organiser les épreuves de surf des Jeux de Paris 2024 dans l’hypothèse où le site initial, le sport tahitien de Teahupoo, soit abandonné. La ville landaise d’Hossegor, qui était candidate avant le choix de la Polynésie française, a proposé à son tour de servir de solution de repli. « On a laissé sous-entendre auprès des instances que nous sommes prêts s’il y avait besoin, a reconnu sur France Info le maire de la commune des Landes, Christophe Vignaud. Si on doit être l’un des plans B, on le fera avec grand plaisir. Si demain on nous appelle pour nous demander si on peut aider le comité organisateur, bien entendu que l’on regardera ça avec attention. » Dans une telle éventualité, la compétition olympique serait partagée entre Hossegor, Capbreton et Seignosse. Du côté du COJO Paris 2024, le discours officiel écarte toute idée de plan B, répétant que les efforts sont toujours concentrés sur la recherche d’une solution à Tahiti.