— Publié le 17 février 2025

La Simico répond aux doutes sur Milan-Cortina 2026

JO 2026

Les délais seront respectés. Voilà ce que la société en charge des infrastructures des Jeux d’hiver de Milan-Cortina 2026 (Simico) tient à répéter à moins d’un an de l’ouverture des Jeux olympiques. Elle a répondu aux doutes soulevés par l’organisation Open Olympics 2026, qui suit de près l’avancée des différents chantiers pour s’assurer de la transparence et de la responsabilité de l’événement. « Les données, publiées en ligne avec une transparence maximale et donc à la disposition de tous les citoyens, indiquent clairement et de manière incontestable que le plan des travaux olympiques est conforme au calendrier et que, surtout, les chantiers de construction des ouvrages sportifs se déroulent dans le plein respect du calendrier établi (dans certains cas en avance) et que tout sera terminé avant les Jeux olympiques et paralympiques de Milan-Cortina 2026. Affirmer le contraire est non seulement faux, mais absolument diffamatoire », se défend la Simico dans une note relayée par la presse italienne. Les travaux de la piste de glisse de Cortina sont notamment dans le viseur alors que la pré-homologation du site est prévue dans quelques semaines.

« Les installations sportives nécessaires aux Jeux olympiques de 2026 sont toutes alignées sur le calendrier. Les travaux routiers étant des travaux patrimoniaux pour les territoires, il a toujours été connu que certains seraient commencés et d’autres terminés après l’événement », souligne-t-elle. La Simico gère 94 projets dans le cadre des Jeux : 44 relatifs au sport et 50 aux transports. « Les données environnementales sont constamment surveillées et suivent strictement les réglementations du secteur, elles sont contrôlées par les organismes de référence. L’action de la Société est toujours coordonnée et ne s’écarte pas des dispositions ou indications prévues par la loi », appuie-t-elle, ajoutant qu’en matière de sécurité, un protocole a été signé avec le ministère de l’Intérieur pour créer « un outil de protection supplémentaire contre tout risque d’infiltration criminelle ».