Lamine Diack, le président de l’IAAF, s’inquiète de l’avenir de l’athlétisme au Sénégal, son pays natal. Et il l’a exprimé très directement, à Marrakech, en marge de la Coupe Continentale. « L’athlétisme sénégalais ne peut pas tomber plus bas que son niveau actuel », a-t-il suggéré, en pointant l’absence de la discipline à l’école et le manque de sprinteurs comme les preuves palpables de cette « descente aux enfers. »
— Publié le 17 septembre 2014