Le COJO Paris 2024 a coché en fin de semaine passée une nouvelle case sur son tableau de marche. Elle concerne le relais de la flamme. Comme pour les sites et les épreuves sportives, un test grandeur nature a été organisé pour éprouver sur le terrain, dans des conditions proches de la réalité, le déroulé et le protocole d’une étape du parcours. Le COJO avait choisi pour cet entraînement très médiatisé le département de l’Aube, non loin de Paris, avec Troyes comme ville d’arrivée du dernier porteur de la flamme. Le casting a rassemblé environ 400 acteurs – les équipes de Paris 2024, les collectivités hôtes du territoire, les deux parrains du relais (Coca-Cola et BPCE), le mouvement sportif et les services de l’État – et mobilisé 90 porteurs de la flamme. Précision : le test a été réalisé avec une torche éteinte, les règles du CIO stipulant que la flamme olympique ne peut pas être vue avant d’être allumée officiellement à Olympie le 16 avril prochain. L’itinéraire emprunté, en revanche, était sensiblement le même que celui prévu lors de la journée de relais le 13 juillet prochain dans le département. Un départ à l’Abbaye de Clairvaux à Ville-sous-la-Ferté, une arrivée à Troyes, en passant tout au long de la journée par le stade Roger-Couderc à Nogent-sur-Seine, le parc d’attractions Nigloland de Dolancourt, la Piscine Les 3 vagues à Romilly-sur-Seine, ou encore les rives du Lac d’Orient de Mesnil-Saint-Père.
— Publié le 25 mars 2024