Inédit. Malgré sa suspension d’une année par la Fédération internationale (IWF), l’haltérophilie russe ne recule devant rien pour convaincre les sceptiques de sa volonté de faire la chasse aux tricheurs. Alexandre Petrov, le président de la Fédération, a annoncé mardi 3 octobre que les haltérophiles russes auront désormais la possibilité de recourir à un détecteur de mensonges, en cas de litige après un contrôle antidopage positif. Le dirigeant a raconté le cas d’une athlète de l’équipe nationale féminine, contrôlée positive, mais ayant juré ses grands dieux avoir été dopée à son insu. « Après cela, la Fédération a décidé qu’en cas de litige avec des sportifs, les volontaires se soumettraient au détecteur de mensonge », a expliqué Alexandre Petrov a l’agence de presse russe R-Sport.
— Publié le 4 octobre 2017