La Fédération internationale d’haltérophilie (IWF) a publié les statistiques de l’année 2024 de son programme anti-dopage, pour lequel elle collabore avec l’ITA. La FI comptabilise 3 324 échantillons collectés, une augmentation par rapport aux 3.192 échantillons de l’année 2023. Plus de la moitié a été obtenue lors des compétitions (1 889), et les échantillons d’urine étaient largement majoritaires (2 389) par rapport aux échantillons sanguins (935). 2 486 tests ont été réalisés, représentant 1.078 athlètes de 120 pays. Là encore, les chiffres sont en hausse par rapport à l’année 2023 (1.039 athlètes et 109 pays). Cinquante-et-un cas de violation des règles anti-dopage ont été enregistrés. Les 122 haltérophiles qui ont participé aux Jeux de Paris ont été testés, sans qu’aucun d’entre eux ne soit en infraction. Parmi les 18 nations les plus testées figurent les Etats-Unis, la Colombie, l’Ukraine, l’Arménie, la Corée du Sud, la Turquie, l’Iran, la Géorgie, la Chine, le Kazakhstan, l’Egypte ou encore la Thaïlande.
