La liste est désormais connue. Elle couvre la planète entière. Le CIO a dévoilé mardi 25 octobre les onze organisations choisies, au terme d’un appel à candidatures, comme centres de recherche sur la santé des athlètes. Désignées par sa commission médicale et scientifique, elles mèneront des études et expérimentations pour l’instance olympique pendant une période de quatre ans (2023-2026). Objectif annoncé : rechercher, développer et mettre en œuvre des méthodes efficaces de prévention et de traitement des blessures et maladies liées au sport. Leurs travaux seront financés par des subventions de quatre ans du CIO. Les centres de recherche sont situés en Australie, au Canada, au Danemark, en Corée du Sud, aux Pays-Bas, en Norvège, au Qatar, en Afrique du Sud, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. En plus de ces dix centres nationaux, le CIO a sélectionné un réseau francophone de recherche sur la protection de la santé et la performance des athlètes (ReFORM). Il est composé de l’INSEP à Paris, l’Université et hôpital universitaire de Liège en Belgique, l’Institut luxembourgeois de recherche en orthopédie, médecine et sciences du sport (LIROMS), l’Institut national du sport du Québec, et les Hôpitaux universitaires de Genève en Suisse.
