Improbable situation. Déterminé à rattraper son retard dans la lutte antidopage, le Kenya se trouve confronté depuis quelques mois à une pénurie d’avocats compétents sur les questions liées au dopage. Japhter Rugut, le directeur de l’Agence kényane antidopage (ADAK), l’a confié au site nation.co.ke: « Nous avons en ce moment plusieurs dossiers en cours au Tribunal arbitral des sports, que nous avons institué, et peu d’avocats spécialisés dans les affaires de dopage. » Pour y remédier, l’agence kényane antidopage vient de signer un accord de partenariat avec la « Law Society of Kenya », afin d’obtenir une aide juridique sur les affaires en cours dans le sport, notamment en athlétisme.
— Publié le 13 août 2018