Les chiffres sont rassurants. Selon le décompte du comité d’organisation des Jeux de Tokyo, plus de 1.600 athlètes, entraîneurs et officiels sont entrés au Japon entre le début du mois d’avril et le milieu du mois de mai, cette année, pour l’essentiel à l’occasion de tests pré-olympiques. La plupart d’entre eux ont bénéficié de mesures d’exception. Ils n’ont pas été soumis à une période de quarantaine. Dans le détail, ce contingent d’étrangers comptait 1.432 athlètes, sur un total de 1.649 personnes. Bilan : pas un seul cas d’infection au COVID-19. Et, toujours selon le comité d’organisation, pas une seule infraction aux règles sanitaires, notamment en termes de respect du couvre-feu. Dans la majorité des cas, les athlètes ont subi des tests au COVID-19 les troisième, huitième et quatorzième jours suivant leur arrivée, après une première période de trois jours où les contrôles ont été quotidiens. Ils ont été autorisés à s’entraîner dès le lendemain de leur arrivée au Japon, sous réserve d’avoir été testés à un rythme quotidien au cours des trois premiers jours.
— Publié le 1 juin 2021