La Russie est prévenue: le CIO ne lui accordera aucune faveur. Thomas Bach l’a expliqué au New York Times, jeudi 22 juin, avant de se rendre à la Maison Blanche pour y rencontrer Donald Trump: « Nous ne pouvons pas oublier ce qui s’est passé à Sotchi. Nous avons été clair, le passé, ce qui s’est passé là-bas, doit être sanctionné ». Le président du CIO s’est interdit de donner plus de précisions sur la nature de ces sanctions, mais il a expliqué qu’elles interviendraient « au plus tard au mois d’octobre ». « Pour prendre une sanction appropriée, nous devons savoir à quel point le système de manipulation était développé », a expliqué Thomas Bach au quotidien américain.
— Publié le 23 juin 2017