Pas de mauvaise surprise en perspective pour Zena Wooldridge (photo ci-dessus). Présidente de la Fédération internationale de squash (WSF), la Britannique est assurée de prolonger son bail avec un nouveau mandat. Elle est en effet la seule en lice pour le poste de président. Elue pour la première fois en 2020, elle sera reconduite lors de l’Assemblée générale annuelle de la WSF, prévue le 14 décembre à Hong Kong. En revanche, la bataille s’annonce incertaine pour les deux postes vacants de vice-président, abandonnés par l’Egyptien Karim Darwish et le Colombien Pablo Serna. Ils sont convoités par six candidats : Rosie Barry (Irlande), Nour El Tayeb (Egypte), Quamrul Islam (Bangladesh), David Mui (Hong Kong), Boye Oyerinde (Nigéria), et Marshall Pagon (Etats-Unis). Deux actuels vice-présidents, Susan Devoy (Nouvelle-Zélande) et Debendranath Sarangi (Inde), conserveront leur siège. Après plusieurs tentatives infructueuses pour intégrer le programme des Jeux olympiques, le squash a finalement réussi son pari. Il sera sport additionnel aux Jeux de Los Angeles 2028. Un dossier porté avec succès par Zena Wooldridge et par William Louis-Marie, le directeur général de la WSF.
